Commentaires

L’approche de Malcolm Balk

L’approche de Malcolm Balk peut être qualifiée de minimaliste, mais l’expression anglaise «less is more» lui rend mieux justice. En quelques mots, reprendre contact avec son corps, et ainsi trouver l’équilibre entre l’effort brut et l’intelligence instinctive de l’enfant en mouvement.

Yves


Guérir d’une blessure (et ne pas en avoir d’autres)

Je suis allé voir Malcolm Balk pour apprendre à marcher correctement après deux graves blessures à ma hanche droite et à mon pelvis, car je pratiquais le yoga comme un sport extrême. En dépit de deux années de réhabilitation avec un physiothérapeute, un thérapeute athlétique, deux chiropraticiens et un acupuncteur, qui, ensemble, sont arrivés à soulager ma douleur, je marchais encore comme un chameau ivre. Avec Malcolm, j’ai obtenu beaucoup plus que ce que j’espérais. Non seulement il a réussi à me faire marcher avec grâce et efficacité, mais il a aussi amélioré ma posture, appris à me lever et à m’asseoir efficacement et m’a permis d’approfondir mes pliés avant, un boni inattendu. Grâce à Malcolm, je risque moins de refaire les mêmes erreurs et à me blesser de nouveau. La technique Alexander est une excellente méthode qui montre comment se déplacer avec une meilleure conscience de soi et moins d’effort. Malcolm Balk est un excellent professeur expérimenté et, quel que soit votre problème, il peut vous aider.

Stewart Cooke


La technique Alexander et la performance musicale

Les leçons de Malcolm Balk m’ont aider à me reconnecter à des aspects de mon jeu que j’avais perdu de vue avec les années et à trouver de nouvelles avenues d’expression musicale. De façon générale, elles ont donné un nouveau souffle à mon enthousiasme à jouer du saxophone. Pour les jeunes musiciens, ces leçons donnent une meilleure conscience de l’utilisation de nos membres, jambes, dos, cou et tête, et de leur mouvement, ce qui peut permettre d’éviter les pièges rencontrés pendant une carrière musicale. Très utile pour la respiration, le support, les articulations et le rythme, avec une approche à la fois différente et novatrice.

Janis


Une meilleure façon d’utiliser son corps 

La technique Alexander est pour moi un guide et une inspiration pour trouver comment mieux utiliser notre corps dans un monde qui ne valorise pas et ne soutient pas ce concept. J’ai observé avoir obtenu une plus grande énergie, relaxation et attention. J’ai aussi de meilleures performances et plus de plaisir à courir et à jouer au golf.

Matt


Soulagement des migraines 

Il y a quelques années, j’étais à un point tournant. Il me fallait de l’aide pour soulager les terribles migraines dont je souffrais à chaque semaine.

Comme je suis flutiste,  j’avais déjà lu sur la technique Alexander et comment elle peut
améliorer l’utilisation de son corps. Un livre à ce sujet fut utile, mais je n’allais pas très loin jusqu’à ce que je trouve le nom de Malcolm sur l’internet. Je suis très heureux de l’avoir contacté.

Une forte tension s’était accumulée dans mon corps, particulièrement dans les épaules et le cou, à tel point que ma mauvaise posture était devenue une part intégrante de moi. En suivant les instructions de Malcolm, j’ai pris conscience des situations qui provoquaient cette tension. Malcolm m’a donné les outils qui m’ont fait sentir quand et pourquoi mon corps est désaligné. Cela a provoqué plusieurs moments révélateurs tant lors des leçons que dans la vie quotidienne.

Malcolm a été le catalyseur de ces changements qui ont amélioré la conscience de soi nécessaire à une prise en charge. Il est ainsi devenu un ami que j’ai hâte de voir, car je sais que nos leçons me rapprochent d’une meilleure utilisation de mon corps.

Les migraines? Bien que pas complètement disparues, elles ont certainement diminué. En fait, je ne sais pas comment je pouvais fonctionner avant de rencontrer Malcolm.

Louise Fabris


Le Parkinson et la technique Alexander: mes observations

Six mois de sessions régulières avec Malcolm Balk m’ont permis de développer un certain contrôle des symptômes du Parkinson :

  • Raideur dans le cou et les épaules. J’ai pris conscience de ma capacité de relaxer ces membres. Auparavant, le laissais le Parkinson contrôler ces muscles, ce qui les rendaient tendus et inconfortables. Maintenant, mon cerveau peut leur envoyer le message de ne pas se contracter.
  • Posture. On m’a enseigné l’importance de la position de la tête. Lui permettre de pencher vers l’avant entraînait mon cou et les épaules, résultant dans la posture voutée classique du Parkinson. Maintenant, je comprends l’importance de la position de la tête et j’essaye d’envoyer les bons messages de mon cerveau pour maintenir mon équilibre.
  • Démarche. Quand l’effet des médicaments diminue, ma démarche donne l’impression que je me traîne les pieds, un symptôme de la maladie. J’ai appris qu’en utilisant mieux les muscles de mon abdomen et de mon fessier, je pouvais avoir une démarche plus animée.

L’effet d’un bon massage dure trois heures. Une leçon de technique Alexander dure pendant des semaines.

Sarah Humphrey